Je savais bien qu’il y aurait une…. “nouille dans le manou”* …
les dorades coryphènes ne sont pas ce qu’elles prétendent être…. à qui peut-on se fier de nos jours ? je vous demande un peu !!!!!
pour le retour de la pêche miraculeuse, il y avait…. des mérous de roche (apparentés aux thiofs, si chers à nos côtes Sénégalaises ) ; des perroquets également prôches des dorades coryphènes uniquement… par la taille des écailles ! leur autre petit nom est le mahi-mahi, c’est vrai que c’est un nom que j’entendais souvent dans le Pacifique ; leurs tailles oscillent entre 2 et 5 kg et l’un des records est un poisson de 2 m de long et d’une quarantaine de kg !!!
ma moitié d’orange, qui n’est pas originaire de Marseille, et qui n’est pas galéjeur non plus…..tient à rendre aux perroquets ce qui leur appartient ! ce sont des poissons dits hermaphrodites successifs et lorsqu’ils sont femelles sont très colorées ; mais c’est surtout à cause de leur mâchoire quelque peu proéminente, espèce de bec crochu, qu’est issu leur nom ;
son lieu de chasse sous-marine & en apnée, de prédilection se situe du côté de la pointe des Alhmadies ; extrème ouest de Dakar, c’est la pointe la plus à l’ouest des côtes africaines ; bien qu’un phare y soit basé, de nombreux bateaux ont échoué à cet endroit ; les bancs de poisson apprécient l’ombre que les épaves leur procurent en plus des petits poissons et crustacés qui viennent les explorer et dont les poissons se régalent ;
*expression typique du Pacifique sud…si vous souhaitez en savoir plus, contactez-moi ; 😉
3 commentaires
Qu’elles sont belles ces photos, vues du gris, ici. Je plongerais bien dans ce bleu, maintenant.
elle ne va rien dire ta moitié d’orange que tu vendes la mèche pour ses coins de pêche?
Meuh non, Silo !
j’ai une moitié d’orange plutôt partageuse !
et puis ce n’est pas tant le lieu de pêche que la dextérité du pêcheur !
🙂