Une fois n’est pas coutume, une recette complètement “terroir” ; enfin un peu revisitée quand même !
j’ai utilisé de l’agneau de Pauillac, du magret séché préparé localement, le clairet de la propriété et l’oeuf provient de la “Julie” de Victor le coq !
Vous avez besoin
300 g d’agneau
une quinzaine de tranches de magret séché
1 belle échalote
2 cuillères à soupe d’huile de truffe
1 jaune d’ œuf
1 bouquet de persil plat
1 jus de citron
sel & poivre du moulin
Pelez l’échalote et émincez-la finement ; coupez la viande en très petits dés avec un couteau parfaitement aiguisé ; vous vous rendrez compte que la texture est complètement différente ;
mélangez l’agneau, l’œuf, les échalotes, quelques feuilles de persil avec le citron ; assaisonnez d’huile de truffe, de sel et de poivre ;
si vous souhaitez présenter votre tatare à l’assiette utilisez une boite de conserve vide, lavée et à laquelle vous aurez retiré les deux extrémités comme cercle ; les boites de 100g sont parfaites ; démoulez délicatement et répartissez le tartare dans quatre assiettes ;
servez avec des frites bien chaudes et craquantes et une petite salade d’herbes fraîches : cerfeuil, menthe, estragon…
associé avec un clairet (vin rosé) du cru vinifié et élevé sans soufre l’accord était parfait ; le nez n’est que fruits rouges et la bouche aérienne et élégante.
J’aime bien ça !
4 commentaires
J’aime tout la-dedans – y compris couper la viande au couteau – sauf l’oeuf. J’ai franchement du mal avec l’oeuf cru dans les tartares.
😉 ; comme moi avec la friture alors !
Chacun son truc 🙂
je suis persuadée que tu aimerais ! sa saveur ne domine pas mais amène de l’onctuosité ; lors de notre rencontre (qui ne peut être que prochaine !) nous ferons un atelier Friture/tartare ;
OK ?