Ici la blanquette est un plat coutumier pour la famille “Pascomm”, mais une blanquette rehaussée du crémant de Bordeaux de la propriété et enjolivée de coquilles Saint-Jacques cela devient un “must”…..
Vous avez besoin
4 blancs de poulet sans la peau
2 échalotes
1 cuillère à soupe de beurre
1 cuillère à soupe d’huile d’arachide
1 cuillère à soupe de farine
30 cl de crémant de Bordeaux
2 belles carottes
400 g de coquilles St Jacques surgelées
sel & poivre du moulin
ciboulette
épluchez les échalotes, émincez-les finement et faites les revenir tranquillement dans le mélange beurre/huile, histoire de ne pas faire bruler le beurre ; pendant ce temps retirez la peau des filets et posez-les sur le hachis d’échalotes ; épluchez les carottes ; découpez en fines rondelles ;
lorsque les échalotes ont fondues, saupoudrez avec la farine remuez pour imprégner l’ensemble pendant une mn ; versez le crémant dans la cocotte, remuez une fois encore pour bien détacher les sucs de cuisson et baissez le feu ;
j’ai utilisé le crémant de la propriété ; c’est un vin effervescent et de nombreuses régions de France en produisent ; avec grand talent, je dois dire ; c’était une bouteille en “vidange”, ouverte depuis quelques jours ; conservé au frigidaire avec la fameuse petite cuillère dans le goulot, il était parfait pour ce genre de préparation ; rajoutez les carottes en rondelle, assaisonnez à votre convenance et couvrez ; laissez cuire pendant un petit quart d’heure ;
rajoutez les coquilles St Jacques surgelées et poursuivez la cuisson pendant cinq minutes ; j’aime bien cette méthode car les noix, en décongelant, ajoutent un peu de liquide à la sauce et surtout ne se dessèchent pas ; elles restent bien moelleuses et “gôutues” ;
je dois dire que quelques années plus tard, je préfère déposer les noix de St-Jacques sur les morceaux de viande après avoir arrêté la cuisson pour qu’elles restent “al dente”.
vérifiez l’assaisonnement, parsemez de ciboulette ciselée et servez accompagné d’une polenta moitié eau / moitié lait ;
J’aime bien ça !
2 commentaires
Ca m’arrive de temps en temps de faire la cuisine aux bulles de recyclage, la dernier fois c’etait un ragout de veau 🙂
Interessante cette blanquette terre-mer – c’est drole, je n’aurais jamais imagine cuisiner ca ensemble (pourtant, j’ai essaye et adore le porc aux palourdes d’Elvira).
intéressante ton idée de rôti de veau ; comment l’as tu mitonné ?
tu sais, c’était simplement une improvisation ; mais fameuse en tout les cas !
🙂